"On aurait pu garder Metz et Strasbourg"

Publié le 26 Mars 2008

Sire, ce n'est pas une révolte, c'est la Révolution.
En pleine présidentielle visite à Windsor, de plusieurs provinces,
les paroles fusent pour demander le changement.
Et ces demandes émanent des rangs mêmes du Parti Présidentiel :
"ça suffit ", " soyez clairs ",  " on vous regarde et on en a marre ! ",
" on ne vous aime plus", etc, etc,...
Cris du coeur ou angoisse post-électorale ?
Un peu des deux, peut-être.
Sur fond de mauvaises remontées des électeurs,
c'est un curieux phénomène de désamour.
D'habitude, pour exprimer ces reproches, il y avait fort à parier que,
derrière la porte, un homme providentiel se tenait discrètement.
Ben là, non.
Certes le Premier Ministre est très populaire, mais difficile d'imaginer
une entrée en campagne quatre ans d'avance.

Alors, pour une fois, soyons sympa...
Certains au sein même du Parti du Président s'expriment
avec liberté, et c'est tant mieux.
Est-ce la fin du côté godillot ??
On verra plus tard...

Mais comme dit ma grand-mère,
c'est de toute façon un peu tard pour Metz et Strasbourg.
Comme ce voyage en Angleterre qui lui aussi....arrive trop tard ?
Je me peopolise ?    Non ;) ;)...
Et pi, Honni soit qui mal y pense !
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Rédigé par STANLEY DE LORRAINE

Publié dans #LORRAINE VIE POLITIQUE

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