Publié le 30 Novembre 2008
Tout va vite...c'est la caractéristique de la Crise de 2008.
Des banques à l'industrie, la rapidité du choc est là.
Toute l'économie sensible au crédit est dans la tourmente.
L'automobile comme la construction ne sont pas par hasard en première ligne.
Ces deux secteurs sont pris dans la nasse de la crise doublement,
par la crise du crédit et par les effets directs et indirects des hausses des prix des
matières premières.
remet une pendule à l'heure.
La question de l'environnement doit rester une priorité, un profond changement de nos comportements consuméristes constitue une réponse à la crise.
On pourrait croire en une vision philosophique ou religieuse.
Mais il s'agit avant tout d'une lecture économique de la situation actuelle.
Même si les prix des matières premières viennent d'enregistrer une baisse aussi spectaculaire
que la hausse antérieure, des disfonctionnements forts viennent d'éclater
dans nos économies dévoreuses de matières premières et de crédit.
Non, ce n'est pas notre système économique qui est en cause.
p'tite provoc...puisqu'il y aurait à songer à l'alternative que représente une économie
fermée ou "non libre"....
Non, c'est avant tout notre mode de consommation qui vient de prendre un coup sur la tête...
Combien de temps mettrons-nous à le changer...ou combien de temps mettrons-nous à oublier
cette maudite crise pour reprendre nos vieilles habitudes ?
Ben, non, je n'ai pas reçu un Boudha tibétain sur la tête*...
*Cf. La crise racontée à ma grande-mère (1)...
à suivre...peut-être...