politique gene

Publié le 16 Septembre 2012

 

 

En décidant de donner à la Banque Publique d'Investissement une orientation "régionaliste", le Président et son Gouvernement démontrent une absence de convictions et une absence de vision internationale préjudiciables pour l'avenir.

Pour mémoire, la BPI sera (simplement) le résultat de la fusion d'Oséo (financement et garantie de prêts pour les PME, établissement financier qui date, à l'origine, des années 70) et de la partie capital-développement PME du Fonds Stratégique d'Investissement (créé sous la présidence Sarkozy entre l'Etat et la CDC...sa date de création étant dans le contexte actuel un "problème" !!).  


Deux points à mettre en avant sur cette idée (majeure) de la Présidence normale.


Le premier est l'ouverture aux régions d'un "droit de regard" sur les activités de cette banque publique.

Bien entendu, c'est un cadeau fait aux présidents socialistes des régions d'entrer dans une machine de financement, donc d'accroître le pouvoir sans contrôle de leurs baronnies dépensières.

On imagine la tentation de Mike et de John-Peter de jouer aux golden boys dans les Z.I. lorraines !

Les Cajas espagnoles sont bien là pour démontrer le risque que cette proximité pouvoir financier-pouvoir local engendre...Je ne vous fais pas de dessins pour anticiper des exemples possibles en Lorraine...

Rappelons aussi la décision stupide (une de plus) de MM Masseret et Le Déaut de ne plus investir dans l'Institut Lorrain de Participation, la Région Lorraine perdant son influence dans cet outil de capital-développement. En même temps que la Région abandonnait sa minorité de blocage, le champ d'intervention de l'ILP était élargi au Grand-Est sous pretexte qu'il n'y avait pas assez de dossiers en Lorraine !

Et aujourd'hui, ces mêmes responsables pleurnichent pour "financer" l'économie.

C'est ça une politique de gribouille.


Deuxième point, au moment où la concurrence internationale est ultra-vive, comment peut-on avoir cette vision de quartier pour agir sur la modernisation de l'économie française, sur la constitution de filières solides ?

En Lorraine, on voit bien, entre Chambley et Illange, le danger de ce regard local court-termiste. A la base, la BPI est mal construite. Il faut au contraire conserver la séparation entre Oséo et le FSI. Ce sont deux métiers différents ( à noter que ce projet de BPI est en contradiction avec le projet de séparation des activités bancaires...).


Et comme dit ma Grand-Mère, ce n'est sûrement pas en prenant deux flambeurs que le feu démarrera !

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Rédigé par STANLEY DE LORRAINE

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Publié le 1 Septembre 2012

 

 

Après avoir été une cigale fiscale tout l'été, après avoir dansé à contre-pied contre l'Allemagne, après avoir "détricoté" des semaines durant les mesures économiques du gouvernement précédent, le pouvoir socialiste revient au front pour délivrer un discours anxiogène sur la crise.

Comme aucune décision n'a été encore prise sur l'Espagne (et pourtant, les réunions et  les rencontres avec le gouvernement espagnol  ont été plus nombreuses qu'entre François Hollande et Angela Merkel), les investisseurs et les grands décideurs économiques attendent et se protègent derrière les Bunds allemands ou les OAT françaises.

Si l'on ajoute que le consommateur-contribuable français a commencé son chemin de croix d'impôts, l'idée d'un grand coup de frein auto-produit par le pouvoir PS est plus claire.

Après avoir annulé le dispositif sur les heures supplémentaires (pourtant directement en lien avec les commandes, nerfs de la guerre pour une entreprise) et celui sur la taxe anti-délocalisation, trois mesures ont été mises en avant en Champagne.

-Les emplois "d'avenir" : dans le discours du Président, ces emplois "d'avenir" concernent d'abord la sphère para-publique, le monde associatif et mutualiste. On croit rêver. Les prélèvements sur le secteur productif partiront à tout vent...

-Le crédit-impôts-recherche ( excellent héritage des années Sarkozy, jamais voté par le PS) est maintenu...

-Enfin, cerise sur le gâteau, les régions font gérer les fonds structurels de l'UE. Cadeau politique du Chef de l'Etat PS aux présidents PS des régions (soit toute la métropole sauf 1). Mise à part la préparation des prochaines élections, quelle justification peut-on y trouver d'autres ? Au moment où les solutions doivent être nationales et les efforts tournés vers le grand large, c'est l'option du  saupoudrage.

Pour mémoire, plus de 80 Millions d'euros ont été engloutis par la Région Lorraine à Chambley. 80 Millions d'euros, c'est deux fois la taille de l'Institut Lorrain de Participation, outil régional de capital-développement constitué en 30 ans. La situation est tellement catastrophique que le seul espoir réside en toujours plus d'argent public. C'est ça une politique de développement économique "régionalisée" ? Le scandale de Chambley est bien là. Par connivence politique, le pouvoir central, indécis, déjà dépassé et faible, ferme les yeux. Comme dirait mon Grand-Père, il abandonne ses attributs.

 

 

 

 

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Rédigé par STANLEY DE LORRAINE

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Publié le 26 Mai 2012

Un petit article en France-Monde ce samedi dans L'Est a capté l'intérêt de ma Grand-Mère...: "Dette - La France profite d'un bon climat - Des taux d'emprunts historiquement bas". Article de circonstance bien sûr....avec quelques hics cependant.


Oui, les taux d'emprunts de l'Allemagne, des Pays-Bas, de l'Autriche, de la Finlande et de la France sont à la baisse ces derniers jours.

Oui, il y a bien sûr une "fuite vers la qualité" qui entraîne les taux allemands à des niveaux quasi-nuls sur les durées d'emprunts jusqu'à 5 ans. Ce qui "aide" les emprunts français - très liquides - à bien se placer.


Mais ce petit article donne une si gentille explication politique qu'il en perd en crédibilité...aux yeux de ma Grand-Mère.


1- Peut-on affirmer que "l'orientation" du nouveau gouvernement de gauche (quinze jours chrono) rassure les marchés, alors qu'aucune décision budgétaire ne peut être prise avant les Législatives  ?

2- Moody's confirme sa note (avec un gros bémol de surveillance) : qui avaient hurlé avec les loups de Standard & Poor's il y aquelques mois ?...ceux qui sont aux commandes aujourd'hui ! Mais si Moody's ne change pas sa note, c'est parce que l'"héritage" est jugé correct.

3- il y a du bizarre, bizarre dans cette situation quand même !

Oui, si, dixit L'Est (et d'autres) le Gouvernement de gauche ne fait pas peur aux "méchants" marchés financiers, c'est pour une raison, qui est po-li-ti-que !

Dire que "les marchés" sont rassurés par le Gouvernement de gauche ou dire que le Gouvernement de gauche rassure "les marchés", ce n'est pas exactement la même chose.

Quelle est la conviction des marchés (sans doute confortée par des propos off du Gouvernement de gauche) ?

C'est que rien ne sera fait, oui les promesses ne seront pas tenues, parce qu'elles ne sont pas tenables sur le plan budgétaire. A moins que le Gouvernement de gauche ne se réserve pour un peu plus tard...mais là warning énorme !

De toute façon, c'est une vraie question à poser aux candidats du nouveau Gouvernement de gauche qui usent et abusent d'une propagande économique tronquée !


Ce qui n'est pas dit dans l'article, c'est que cette baisse des taux a bel et bien un lien avec le ralentissement de l'économie plongée dans les incertitudes grecque et espagnole.

Et sur ce plan, la tactique du Président Hollande de montrer aux électeurs français la méchante Allemagne et de faire durer la crise espagnole est un très gros risque qu'il fait prendre à l'économie nationale.

Il est frappant de penser que la crise espagnole dure depuis que dure le début de la campagne présidentielle française.

Sans faire de Sarkoznostalgie ;), cela aurait nécessité une réponse immédiate.

Pourquoi attendre les élections grecques pour répondre au cas espagnol ?

Parce que cela peut faire gagner au PS des sièges en plus ? Sans doute.

Le faux débat sur la croissance et que la fausse question des Eurobonds font perdre du temps à l'économie qui a besoin de confiance.

Et pire, cela conduit au final à associer le problème grec à l'Espagne -et à l'Italie.

On risque de revenir six mois en arrière...

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Rédigé par STANLEY DE LORRAINE

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Publié le 8 Mai 2012

 

Deux projets du Président élu - le retrait anticipé des troupes françaises d'Afghanistan et le remise en cause du pacte européen de Mars dernier- ont été certes annoncés lors de la campagne électorale. Mais, à peine élu, le futur Président est confronté à une réalité tenue.

La question de la parole donnée par un Etat démocratique ne se pose pas si facilement.

En particulier sur le pacte européen.


Le Monde n'a pas changé le 6 Mai...

Mais il est plus "stressé" par au moins deux événements.

En Argentine, l'expropriation du pétrolier espagnol Repsol de sa part dans la compagnie argentine YPF a créé un choc. Il ne s'agit pas d'une nationalisation, il s'agit d'une dépossession du jour au lendemain sans aucun respect des règles de droit.


Le second est tout frais : la Grèce.

Le résultat des élections en Grèce où les partis, non pas "de l'austérité", mais signataires du pacte, sont en minorité pour former un gouvernement solide.


Le projet de François Hollande (et donc du PS) est devenu du jour au lendemain intenable.

Si la France demande "cette renégociaton", pourquoi pas la Grèce, le Portugal ou l'Irlande ?

Qui ont bénéficié d'une aide financière considérable de l'Europe (donc de nous) et du FMI.

Le Président élu n'a jamais voulu reconnaître le travail accompli par le Président sortant dans ce domaine.

Comment va-t-il se sortir du piège dans lequel il s'est lui-même engouffré... par calcul politicien ? 

La propagande sur "la croissance" sera mise en avant sans limite.

Mais, le premier effet de ce coup de menton hollando-mélanchonesque n'est pas à négliger.

Les interrogations sur la dette française, dette d'un pays qui pourrait remettre en cause la parole donnée, risquent de venir plus tôt que prévu.


Oui, la campagne électorale et les envolées lyriques sont dépassées par la réalité du grand large.

Mais, bon il reste encore la possibilité de ne pas donner en juin prochain tous les pouvoirs au PS-EELV-FdG...

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Rédigé par STANLEY DE LORRAINE

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Publié le 29 Avril 2012

 

Entre les mauvais mots, les Unes nulles de l'Huma ou de Libé, et les boules puantes, les vraies questions ne sont pas plus débattues que les réponses...

Le vague débat sur "la Croissance" vient de montrer que le consensus européen était loin d'être acquis non pas sur la perspective, mais (élément essentiel) sur les moyens.

Oui, posez autrement cette question des dépenses publiques !


Vous avez la possibilité d'emprunter sur 10 ans à :

(chiffres arrondis)

a - 1.70 %,

b- 2.95 %

c- 3.60%

d- 5.25 %

e- 6%.

Question : Quel taux d'intérêt choissez-vous pour emprunter ?


Réponse a- qui correspond à la situation de l'Allemagne qui léve des Milliards d'euros sur ce niveau...sauf si vous êtes maso !


(b- c'est la France, c- la Belgique, d- l'Italie, e- l'Espagne.)


Dit autrement...Voudriez-vous emprunter à 3.60% plutôt que 1.70% ?

Ben, non...sauf que c'est ce qu'imaginent pour les Allemands...le candidat Socialiste et ses spécialistes déjà en cour.


La position de l'Allemagne est forte parce qu'elle est entrée dans une maîtrise de ses dépenses publiques et de ses coûts du travail.

Non seulement l'Etat Fédéral bénéficie de ces conditions, mais toutes les structures publiques et para-publiques dont la puissante banque fédérale de l'Economie.

Pour ce qui est de la France, les conditions d'emprunt pour l'Etat guident celles des structures publiques (SNCF, CDC, Oséo, par exemple), dont les ressources sont sur dix ans autour de 3%, ce qui est bien différent des taux allemands, mais restent attractifs en tendance historique et en relatif par rapport à certains de nos voisins.

 

Conclusions simples :


- Si l'Allemagne est "isolée" comme le dit François Hollande, c'est du pur baratin !

L'Allemagne bénéficie d'un très fort niveau de confiance.

Elle est clairement entrée dans un "cercle vertueux".

 

- Les taux français, dont l'écart s'est certes creusé, restent attractifs, mais ils sont sous "surveillance", quel que soit le Président élu.

 

-François Hollande peut, en imitant François Mitterrand, faire "sa" grosse voix, le chemin est étroit. Les boules puantes peuvent faire du bruit, la question demeure sur les dépenses publiques de l'Etat et des collectivités locales. VGE l'a bien montré dans les termes de son soutien à Nicolas Sarkozy.

 

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Rédigé par STANLEY DE LORRAINE

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Publié le 7 Avril 2012

 

Il y a quelques jours, l'info sur la rémunération "spéciale" de Maurice Lévy a fait un court buzz !

Un porte-parole du candidat Hollande a expliqué au Monde que cela justifiait les projets du candidat socialiste.

Imaginez 16 millions d'euros de rémunération !

Maurice Lévy, oublie-t-on, est un des grands patrons français.

Il préside le groupe Publicis depuis longtemps et il en a fait une entreprise de premier plan au niveau international.

La somme reçue est une addition certes importante, mais 100 % légale.

Ce sont les actionnaires privés de son entreprise qui ont décidé de cette rémunération.

Et l'actionnaire principal de Publicis n'est autre que la famille Badinter.

François Hollande, comme "simple" candidat socialiste, aurait donc pu régler cette question si scandaleuse (dixit) directement, non ?


Ceci dit, cette affaire a curieusement fait pschitt !

Publicis ne serait-elle pas actionnaire de la régie publicitaire du Monde, fervent partisan de François Hollande ?

C'est toujours passionnant de regarder les "liaisons financières" ;)

Et les vérités ont bien des frontières dans cette campagne électorale.

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Rédigé par STANLEY DE LORRAINE

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Publié le 12 Mars 2012

 

 

En évoquant deux réformes à mener au sein de l'Union Européenne (Schengen et la "protection" des marchés publics européens), Nicolas Sarkozy a mis les pieds dans le plat des conservatismes habituels. Dans les deux cas évoqués, les réactions sont marquées du sceau de la campagne électorale, mais pas seulement. Entendre ou lire un peu partout que c'est impossible - pas possible est étrange.

Il s'agit dans un cas de réorganiser un système qui a montré ses limites il y a quelques mois et dans l'autre, de promouvoir une mesure économique indispensable. Dans les deux cas, le fonctionnement de l'UE peut -il être effectivement  mis en cause sur le fond comme sur la forme ?

Les conservateurs repondent comme toujours "non", "pas nécessaire". C'est dans le même esprit que l'on entend qu'un déficit budgétaire, un déficit du régime des retraites ou un endettement public ne sont pas importants. A tel point, qu'il n'y a pas lieu de les corriger...


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Rédigé par STANLEY DE LORRAINE

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Publié le 12 Mars 2012

 

La négation de la Crise de la Dette est un élément important dans "le clivage" des candidats Tout sauf Sarkozy, à une exception, bien sûr ;)

Mais, il n'y a plus d'exception sur le volet grec.

Et c'est ce qui m'étonne.

Ce que l'on entend, en boucle, c'est un discours très court sur "pourquoi n'a-t-on pas traiter le problème plus tôt", par un chèque, par une aide, voire sans le FMI.

Faut-il rappeler que DSK, dans sa première intervention TV en France, avait lancé cette idée, oubliant son ancienne casquette de Directeur du FMI ?

Le positionnement politique est tel en période électorale que les nuances sont gommées à l'absurde.

Si l'on croit, donc, les candidats TsS, il n'y avait rien à demander à l'Etat Grec en contrepartie d'une aide fnancière de plusieurs dizaines de Milliards d'Euros.

La campagne prend une tournure de plus en plus éloignée des grands stress de Novembre dernier...qui sont (juste) en sommeil aujourd'hui.

Oublier que les recettes publiques doivent être utilisées avec justesse ne-montre -t-il pas un zapping bien hexagonal ?


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Rédigé par STANLEY DE LORRAINE

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Publié le 7 Mars 2012

 

Les médias "de gauche" - Libération, Le Monde, le Nouvel Obs, Rue 89,etc...-sont simplement étonnants... ces derniers temps ;)

Allez faire un tour sur leurs websites...

Une cible, et une seule. Et pas de main gauche !


A cela, on peut ajouter le document tout juste publié par la Fondation Terra Nova sur le bilan de cette cible. Emanation du PS, Terra Nova est un outil de communication du principal parti d'opposition. Et pourtant, cette étude est relayée comme "analyse scientifique et historique", comme vérité...


Il y en a un qui doit en sourire...dans sa tombe : Robert Hersant...



   

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Rédigé par STANLEY DE LORRAINE

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Publié le 3 Mars 2012

 

François Bayrou a bien lancé la mesure avec l'idée du "déconomètre" sur les projets fiscaux du candidat Hollande.

Le discours sur les taxes, les impôts, les riches de la part du candidat PS nous renvoie à un âge de pierre de la pensée économique.

La France serait un île.

La crise de la dette est clairement niée.


Comment développer la (vraie) économie, une (vraie) entreprise, une (vraie) prise de risque ? Oui, vraie, c'est-à-dire sans perfusion de fonds publics ?

Même si on veut créer une "banque publique"...

A-t-on oublié l'affaire du Crédit Lyonnais, banque publique de l'époque Mitterrand ?

Comment lutter à armes égales avec des pays voisins (oui, voisins) qui, eux, encouragent l'investissement dans le capital des entreprises ?

François Hollande et son staff montrent une démagogie facile et certainement contre-productive pour l'avenir.


Et puis, en attaquant les riches "pour des raisons morales", franchement, si ce discours fait plaisir à quelques populistes penseurs, je trouve malsain cet oukaze fiscalo-moral.


Parce que si l'on parle de morale, on peut aussi  remarquer qu'elle est à géométrie variable. On peut évoquer les liaisons troubles du PS des Bouches du Rhône ou du PS du Pas de Calais (dénoncées par A. Montebourg avec beaucoup de difficultés dans son propre parti...) ou bien les 3 ultra-riches "roses", à la fois actionnaires du journal Le Monde et de Médiapart, médias, comme le souligne Xavier Bertrand, qui tirent à boulets rouges sur N. Sarkozy grâce à ces capitaux "si nobles" ? L'un  de ces ultra-riches n'a-t-il pas défiscalisé son patrimoine par le biais d'une magnifique collection d'oeuvres d'Art...du grand art fiscal...mais totalement stérile pour l'économie nationale.

Tout compte fait, regardez le parcours d'un Vincent Bolloré, stigmatisé  sans cesse par une certaine gauche. Il a constitué un groupe industriel qui emploie 34000 personnes dans le Monde.Il a une fortune importante. Et alors !

Question à l'envers : cette stigmatisation "de gauche" est-elle "morale" ?

Et en tous les cas, cela ne me semble pas sain.




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Rédigé par STANLEY DE LORRAINE

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