le PS 54 entre le blues et le marteau piqueur
Publié le 9 Septembre 2012
Connaissez-vous le jugement éclairé de Tante Léonie sur la couverture quotidienne ample du quotidien de Nancy sur les faits et gestes des notables anciens et nouveaux du parti gouvernemental ?
C'est plus L'Est, c'est Monaco-Matin (même si ma Tante Léonie a un faible pour le Prince Albert).
Alors amusant de voir au-dessus de la "tournée de rentrée des élus" (NDLR lol : élus du CG 54 PS), un compte-rendu de l'"université de rentrée" de la Fédé 54 dans le quotidien du jour !
Tiens, y'a pas notre Hervé Féron !
Mais sont présents les Députés Potier et Khirouni, le Sénateur Reiner et bien sûr le Vice-Président du CG 54, Mathieu Klein.
Comme dit ma Grand-Mère, c'était et je te pleure de voir que les médias n'ont pas assez relayé la baisse de la TVA sur le spectacle vivant, que l'individualisme monte (c'est ça qui monte ou plutôt les impôts sans réforme de structure ?), que l'équation est difficile et que - mirabelle sur la tarte - un second mandat sera nécessaire à François Hollande !
Le discours d'avant était tellement facile et brutal.
Mais on voit aujourd'hui poindre une volonté ambigüe, voire dangereuse.
Nous tenons tout, utilisons tout, oui, profitons-en pour nous maintenir.
Le parti gouvernemental commencera à être (peut-être) crédible, lorsqu'il décidera de s'attaquer frontalement à la réforme de l'Etat et d'abord aux mille-feuilles des collectivités locales.
La Meurthe-et-Moselle fait partie des 30 départements en danger financier (Cf. website Les Echos).
Avant même la question du cumul des mandats, règler la "quantité" de mandats dans un souci d'économies ?