le "clanche à clanche " du candidat PS aux Municipales à Nancy
Publié le 17 Août 2013
Le marketing politique a un côté amusant dans une campagne électorale avec son côté trucs et gadgets.
Le candidat du PS à Nancy en teste un, au milieu de l'été : l'affichette "ne pas déranger" des hôtels revue et corrigée.
C'est le constat d'un porte-à-porte sans succès au premier degré.
Oh zut, personne...ou plutôt, chic personne pour me parler de mon gouvernement qui patauge dans les indécisions et les contre-mesures depuis des mois après avoir tant promis.
Mais, au second degré, le candidat Mathieu Klein, ou du moins ses communicants (dont les noms ne figurent pas sur le doc, ni même celui de l'imprimeur...), ont une nouvelle constance visuelle : montrer ce candidat en costume-cravate.
Oui, c'est avant tout une campagne d'apparence que le PS lance à Nancy.
La ficelle visuelle est grosse, mais évidente : cet habit est un élément du camouflage politique.
Ce sont toutes ces années de sectarisme politique de la section 54 du PS qui doivent être "gommées" aux yeux des électeurs nancéiens.
Comme chacun sait, la lessive marketing ne dure que le temps de la pub.
Que l'agence de com' du candidat PS pense que Nancy vaut bien un costume, c'est presque drôle. Mais Nancy mérite avant tout de préserver un esprit de tolérance dans un environnement qui l'est de moins en moins. Et l'année écoulée, la première année Hollande-PS, en est une claire démonstration dans tous les domaines en dépit des annonces de la campagne de 2012.
Les dossiers municipaux ne doivent pas se jouer comme une partie de cartes où celles du PS seraient forcément les "meilleures" parce qu'elles seraient "majoritaires".