La rose attaque

Publié le 16 Juillet 2009

Que faut-il penser de la querelle épistolaire entre Martine A. et Manuel V. ?
Le PS nouveau, celui de Martine Aubry, se met à lancer des mises en garde
contre certains de ses trublions.
Avec l'affaire Orelsan, en terre socialiste là aussi, mais sous dominance Royal,
cela commence à faire une curieuse addition.
Comme dit ma grand-mère, faut pas se mêler des histoires de famille.
Il n'empêche que Manuel Vals se retrouve à l'index, quand d'autres, il n'y a pas
si longtemps, étaient laissés libres de critiquer le vote majoritaire de leur propre parti
sur l'Europe.
Vieille histoire ? Pas vraiment, puisque certains sont partis créer le PdG...
Et si alors, le cas Manuel Vals permettait de montrer à Ségolène Royal que
le laxisme a assez duré....peut-être...
Vraiment marrant ce Parti Socialiste....
il va, en fin de compte, peut-être opter pour
le centralisme démocratique...non  ?

Rédigé par STANLEY DE LORRAINE

Publié dans #politique géné

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P
Ce qui me frappe le plus, c'est cette tendance à vouloir absolument mettre la charrue avant la boeufs, en demandant de faire le choix d'un chef avant de corriger ce qui ne va pas, à savoir l'inanité du programme. mais on me répondre probablement que le nouveau chef (ou la nouvelle cheffe) s'empresserait de revoir le programme du PS. Evidemment, au vu de mes préférences politiques je ne passe pas mon temps à lire le programme soso, mais puisque cette année a été bien remuante sur les campus j'ai lu les différentes réponses apportées aux questions des trublions de Sauver l'Université etc : là, j'ai été très étonné de constater le vague et le flou des réponses roses, à croire qu'ils ont peur de perdre encore des électeurs en prenant clairement position. Il y a un vide intersidéral qui les amène à dire que la LRU c'est ce qu'ils auraient fait s'ils avaient été au pouvoir et qui est hallucinant, même pour une personne aussi peu proche du PS que moi. Ils sont là à parler du vote populaire et ouvrier alors que ces électeurs se sont barrés depuis un bon moment ailleurs. Pas forcément chez le facteur... Le décalage se retrouve d'ailleurs dans leur électorat réel : des gens qui traitent les autres de bourgeois alors qu'ils sont universitaires, rejetons d'universitaires avec des frères et soeurs pharmaciens ou autre profession du même acabit. M'enfin,  attendons que ça se décante après les régionales : on aura besoin d'eux pour une alliance orange-vert-rose.  
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