et les eurosceptiques disaient non, non, non...
Publié le 26 Mai 2009
Je n'en suis pas sûr, mais je crois bien que le mouvement eurosceptique est né à droite.
Les nations d'abord.
Puis, le non à Maastricht...
Ensuite, non et non.
La faute à Bruxelles, refrain trop fréquent, devenu le chant des eurosceptiques.
C'est vrai, la contagion a été forte pour des tas de raisons.
Les convictions nationales ont aujourd'hui beau jeu dans ce camp.
L'occasion fait le larron.
Exemple clair et net : l'Euro.
Non à l'Euro, sans dire vraiment vive le Franc, pendant des années,
les eurosceptiques ont dit tout le mal qu'ils pensaient de la monnaie unique.
Qui pense aujourd'hui que les choses seraient plus faciles pour nous,
avec notre Franc, avec une dette en Francs ?
Curieux, ce silence de la part de ces grands bavards.
Alors la thématique a changé.
Bruxelles.
La Commission, etc, etc...
Les contradictions sont multiples, mais peu importe.
Les ça marche pas vont de paire avec les pas de changement.
Incroyable mécanique politique...
Evolution des institutions ?
Non, l'autre Non, celui du plombier polonais et du Plan B.
Alors, en pleine crise économique, oui, les rouages constitutionnels font défaut.
Mais, la faute à qui ?
Alors pour une fois, si on disait non aux eurosceptiques de droite et de gauche.
Et si on revenait à ce grand projet de construction européenne....
Les nations d'abord.
Puis, le non à Maastricht...
Ensuite, non et non.
La faute à Bruxelles, refrain trop fréquent, devenu le chant des eurosceptiques.
C'est vrai, la contagion a été forte pour des tas de raisons.
Les convictions nationales ont aujourd'hui beau jeu dans ce camp.
L'occasion fait le larron.
Exemple clair et net : l'Euro.
Non à l'Euro, sans dire vraiment vive le Franc, pendant des années,
les eurosceptiques ont dit tout le mal qu'ils pensaient de la monnaie unique.
Qui pense aujourd'hui que les choses seraient plus faciles pour nous,
avec notre Franc, avec une dette en Francs ?
Curieux, ce silence de la part de ces grands bavards.
Alors la thématique a changé.
Bruxelles.
La Commission, etc, etc...
Les contradictions sont multiples, mais peu importe.
Les ça marche pas vont de paire avec les pas de changement.
Incroyable mécanique politique...
Evolution des institutions ?
Non, l'autre Non, celui du plombier polonais et du Plan B.
Alors, en pleine crise économique, oui, les rouages constitutionnels font défaut.
Mais, la faute à qui ?
Alors pour une fois, si on disait non aux eurosceptiques de droite et de gauche.
Et si on revenait à ce grand projet de construction européenne....