Le PS déborbé
Publié le 9 Mai 2009
Après une élection délicate, la nouvelle direction du PS a cherché à
montrer une certaine rupture par rapport à l'ère Hollande.
Les semaines passent, Benoît Hamon passe et repasse en boucle
au nom du PS, mais la mayonnaise tourne toujours.
La pression des autres forces politiques d'opposition et le travail
chirurgical du NPA pour imposer sa loi mettent à mal le PS.
Faut-il ajouter l'absence de discours cohérent sur l'Europe,
c'est même pas la peine !
Dans les conflits sociaux comme dans certaines facs, les socialistes
ne touchent plus la balle.
Le match est subi.
Le NPA se froppe les mains, rouges d'intimidations.
Ségolène Royal lance ses bombinettes, et puis s'en va.
L'Ump a beau jeu maintenant de demander au PS de prendre "ses responsabilités".
Le PS n'arrive pas à tenir un discours clair de condamnation des violences.
Sur les positions de celui que l'on présente comme "l'humoriste Dieudonné",
comme dit ma grand-mère, il doit rire quand il se brûle, celui-là,
Benoît Hamon a fait une salade anti-Guéant.
Sur la loi Hadopi, certains artistes de gauche s'élèvent contre la position
du parti.
Dans certaines facs, les étudiants et les enseignants socialistes ne savent plus
comment arrêter la machine infernale de destruction.
Alors, voter PS aux Européennes ?
montrer une certaine rupture par rapport à l'ère Hollande.
Les semaines passent, Benoît Hamon passe et repasse en boucle
au nom du PS, mais la mayonnaise tourne toujours.
La pression des autres forces politiques d'opposition et le travail
chirurgical du NPA pour imposer sa loi mettent à mal le PS.
Faut-il ajouter l'absence de discours cohérent sur l'Europe,
c'est même pas la peine !
Dans les conflits sociaux comme dans certaines facs, les socialistes
ne touchent plus la balle.
Le match est subi.
Le NPA se froppe les mains, rouges d'intimidations.
Ségolène Royal lance ses bombinettes, et puis s'en va.
L'Ump a beau jeu maintenant de demander au PS de prendre "ses responsabilités".
Le PS n'arrive pas à tenir un discours clair de condamnation des violences.
Sur les positions de celui que l'on présente comme "l'humoriste Dieudonné",
comme dit ma grand-mère, il doit rire quand il se brûle, celui-là,
Benoît Hamon a fait une salade anti-Guéant.
Sur la loi Hadopi, certains artistes de gauche s'élèvent contre la position
du parti.
Dans certaines facs, les étudiants et les enseignants socialistes ne savent plus
comment arrêter la machine infernale de destruction.
Alors, voter PS aux Européennes ?